Un triple anneau: Celui du pèlerin, celui du sultan, et celui du féerique, pour nous unir devant la création. Une main qui nous guide, protège ces anneaux, et nous rappelle d’où nous venons. Elle émerge du tableau comme dans une paréidolie, tel ce mur à traduire et à lire, et ce pont à franchir. Et des récits merveilleux, et des rêves qui semblent si réels, nous font voir au delà de ce qui peut être vu, et nous rappellent que cela pourrait être vrai, quelle que soit la manière de les percevoir…