L’abstraction et la figuration sont deux travaux différents, mais l’abstraction figurative est passée par de nombreux subterfuges. Elle oblige le décalage d’une figuration abstraite.

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Le produit larve dans la chose qui elle même amibe parfois l’atome…

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L’anticipation est toujours à l’affût.

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Assise muséale transportable.

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Je déterritorialise mon atelier

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Donner de l’espoir aux atomes.

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Je ne peux faire aussi bien que ce qu’ils me font faire.

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Ce que fait la peinture.

Nous sommes tous égaux devant l’art.

Reste-il un espoir de rapprocher les hommes ?

Le ton est un décalage qui cale.

Une forme de cosmique réciproque.

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Ce qui se saisit hors norme,

Plat ou tendre,

Du palpable de l’inconsistance impalpable ;

La risée.

Envers du neutre vers l’heure de choisir.

L’auréole comme champs lexical,

Trajet notoire,

Tend d’une rare limite à son temps d’abstraction,

Que tant de forts qui ne risquent que puissance du faible.

Soudain !..

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S’il n’est ce qu’il est que par ce qu’il montre abstraitement et concrètement.

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Collage titre de monde.

Depuis ce principe, s’il n’y a plus de norme dans la peinture… Les matériaux introduits au travers d’objets font valoir, comme tels, des passages. Seconde interprétation de notre intérieur propre: Il ne s’agit pas de coller pour son choix d’une actualisation, mais de faire passer ce que l’on conçoit vraiment, ce qui nécessite une idée d’un cadre choisi. Car que nous valent ces méditations de l’objet de nos élucubrations prétentieuses? Que vaut notre propre aliénation ? Entre précisément un concept : Le besoin de démystification et les travers des multiples significations ressenties.

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Comme quand une onde d’un schizo trombe, long comme elle, quand y viendra. Son triste sort, instinct quand on y croit ; Le mal revient toujours plus instruit. Comme elle quand elle dit, de près… MASQUE « Je est mort »… Elle sait qu’en force, loin de me penser son aura désabusée, parcours chancelant rythmé : Me traversant ! Forte du mauvais monde. Ceci ne correspond de loin qu’à d’étroites questions. Où marquer ce manque trouble mes silences…

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Comment apprendre la vie en peinture à un joseph Beuys mort ?

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Constance radicale )( Rien n’est exprimé simplement mais néanmoins, le langage lui s’est retrouvé simplifié. De l’enfant à l’adulte pourtant, la matière évolue artificiellement, et le sujet vit . Magnifique et temporel, La mort n’arrive qu’à nous seuls.

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De son temps… On était enchanté… Ou (qu’) à cette époque la pierre était tendre comme de l’espace. [qui manipule le réel]. Salut et part, le vent reconnaissant. Car ce qu’il savait n’était pas toujours à dire. (Lui emprunter une seconde)

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Des ennemis dans le monde ? Faut ! Un mensonge d’en bas.

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Dessin d’une personne qui tient à la main une œuvre, qui se tient à l’art.

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Non à l’abécédaire dessin horrible

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Un espèce de dessin comme ça

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Une forme de dyslexie du focal.

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Entrent les effets de la drogue entre moi et la drogue. C’est à ce moment qu’ils sont nécessaires.

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Avec des mains carrées, drogué. Faux croquis.

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Elaborer un processus récupérateur de travaux réalisant un lien spatial.

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Les enfants du son. Il suffit qu’on leur permette de nous montrer…

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Éradiquer n’est pas avoir.

Il ne peut y avoir de pire éradication que celles dues à la guerre. Peut-on éradiquer la guerre ? Si la guerre n’était pas pire, il n’y aurait pas eu de pire guerrier. Eradiquer la guerre et les guerriers sont éradiqués. Eradiquer le pire…

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A partir d’un certain stade on entre dans l’espace galactique.

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Et si l’espace muséal n’était plus qu’un lieu de tournage avec des objets, des machines accessoires.

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Et si la peinture était un sanctuaire de travail du peintre. Comme un palimpseste de sa vie. Pour un peintre défunt de sa peinture, elle ne serait pas morte. Mais si dans sa peinture où il met sa mort, la vie était comme un cénotaphe dans lequel il ne serait pas mortel. Alors la peinture recouvrirait la mort de telle sorte qu’il ne reste que la vie.

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Abstraction du genre humain ou abstraction pure, solénnité envers nous même, ou bien puissance vers le meilleurs qui se charge en nous, faisant ni une ni deux. Façon d’intransigeance

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Faire semblant, c’est ne pas croire à ce qui nous ressemble.

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Les femmes c’est la nudité. Les hommes c’est le recouvert.

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Fragile comme le verre, c’est de son masque de base, que le jeune homme arpente. Pente raide comme nulle part. C’est à lui de trouver le chemin perdu.

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Généalogie de l’espèce

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Comme une sorte de guide sous la main.

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Il faut oser gronder un diable. « Le dompteur de diable »

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Il nous faut trouver la formule de l’équation de la boucle. Chaque intervalle implique une boucle quel que soit le sens de lecture. Ensuite une boucle en boucle nécessite l’équation intervalles des boucles, des intervalles en boucle, des boucles intervalles… etc. dans tous les sens.

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Il se peut, par l’abstraction de je ne sais quel phénomène de subjectivité, que j’en arrive à extrapoler sur un caractère dont, pour arriver à mes fins, j’exagère le sens en inversant tout mes sens. La crainte de l’extérieur, besoin d’un soutien affectif, c’est normal plus personne ne me connaît.

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Les images veulent sortir et nous communiquer ce qu’elles savent

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Instantané

Il n’y aura plus d’argent

Si une fois seulement les artistes cessaient de rechercher leur propre image, celle-ci avancerait d’elle-même, le futur est, mais rien à confronter dans son propre néant ; l’image de faire son sens…

(06.09.98)

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Chercher à se jouer des signes c’est tenir du bout des doigts au coin de l’oeil, l’image d’un paradis perdu ou égaré…

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Proche le jour du royaume. On est gentil on rigole bien les enfants. Aujourd’hui encore ne peut affranchir leur prière. S’ils tuent, ils n’ont pas de royaume, mais tout leur est laissé.

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« L’art fait des choses et les choses sont des médiums ». Médiums qui permettent que l’art se fasse des choses. Donc l’art c’est les choses que cela fait. Et les choses de l’art c’est l’art fait choses…

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L’origine est à la source, ce que la complexité est au décalage, La règle d’une démonstration en cours…

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L’exil d’une nuit

L’asile d’une vie

Quand partirai-je ?

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L’objet minimaliste se creuse et donne le fixe de l’étendue d’images déjà existantes.

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S’il n’y avait pas la haine, ceux qui ne savent pas on leur montrerait.

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La peinture copule avec la matière pour enfanter le cycle de la reproduction…

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La peinture crée toujours du mouvement à l’intérieur.

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La peinture essaie de reprendre sa forme d’origine.

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La religion du scepticisme traduite à travers ces trahisons de culpabilisation… (Chercher)

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Le charbon se fait gronder de l’avoir oublié

(19.11.98)

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Le geste atteint l’orientation technique de la relation au vivant. Abstraction romantique… Toute sorte de procédés relatifs étant à confronter. Calcul inconscient mais réel ; Figée par le dessin, dessein , destin, La peinture gestuelle est comparée dans les mots.

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Le geste s’accélère pour capter la logique de vitesse qui émane de son action. S’oppose en parallèle le goût de choisir une tendance dans la peinture : Innover ! A travers la vélocité technique et le génie de ces nouveautés, naît enfin l’idée que rien est tout. Par simplicité !

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Le rythme agressif.

Une idée qui se décharge de la violence par un geste brute. Portée à sa transcendance formelle elle reste unique. Agressive pour les mécontents. Attestée du futur. Relatée au présent pour son émancipation.

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Le temps passe et l’on passe avec lui…

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Lui faire sentir aux confins d’astres, l’âtre de son amour.

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Mensonge et doute. La sincérité du veau, mouton de panurge.

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Le mix n’est pas encore possible, il faut arriver au point culminant de la musique…

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Une sorte de généalogie du muscle.

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Y a un an je voulais partir nomade, j’ai échoué. Maintenant je cherche mon grand frère

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Non à l’absolu tribut du hasard !!!

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Noyau du dessin « femmélique »

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Noyau du dessin inutile

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Toujours du noyau inutile

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Outre sombre cela se ressent. Seulement les armes du rêve sont passées aux bagages, d’une quête éperdue, insignes langages, prématurés d’amour…

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PAS SEUL

Mais qui de vous n’accepte que la haine, le manque de morale, la jouissance gratuite et le mal ? L’obscure qui nous entoure finit-il toujours par abattre le coté faible ? Prendre pour exemple le fort…

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« PERA RERA »

Béton dune

C’est un instinct quotidien.

Tu te décharges…

Et c’est froid.

Le limon sur le bord de l’eau

C’est à la lame d’un couteau, tranchant aiguisé, reluisant

C’est un festin,

Pour vider mon quotidien,

Sentir l’échec face à la réussite.

C’est là d‘où je vient ;

Ce crétin

Me mange le nez

Son CD le PD

Allé reste

Bloqué.

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Phrase synonyme de langage, stade de la diction, le mot représente seulement ce qu’il est.

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Poème

S’abstraire d’une rédemption de la situation d’associabilité. Les recherches ne sont au futur que cris, involontairement frappés d’eux même, et abstraitement: Facettes diverses, maléfiques. Coté outrance on dit :« Pas de peinture entre sombre et clair » Mais parfois, l’indécision universelle n’est pas neutre. Le laid remplace l’obscur ; La raison : Pourquoi en tant que pouvoir !

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Outre sombre cela se doit ; Condamnés à la composition de l’inconscient. Entre ce qu’explique le langage, et celui qui ne voit rien,Autodidacte sans grande prétention de collectivisme. Pourtant il donne comme ils sont capables de prendre.

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Prendre du temps à respecter les choses nous amène à une certaine sympathie avec elles. Si l’on y succombe, c’est soit que l’on a trop voulu les toucher, soit que l’on en est sorti et qu’on en a découvert toute l’étendue. Mais là où elles nous touchent, enfin, elles nous montrer nos vrais pouvoirs.

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Quand aux armes du rêve vous laissez votre bagage, la subtilité naissante traduit les antécédents. Quand aux acquittés, si elles dénotent des résultats avec l’outil, le cauchemar est à propos…

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Quand au masque du mensonge vous exploitez le monde, du progrès traduit en syndrome, il vous reste l’argent.

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Quand aux armes du mal, vous laissez votre tristesse, subtile mélancolie…

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Quand au vice…

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Quand rien ne te vient, rien ne vient à point.

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Quand au stress, il y a dans la décharge comme un souffle maladroit de haine.

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Quand rêve le vert.

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Quand même.

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Quand bien mal ?

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Quand la drogue prend.

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Quoi quand ?

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Quand vient le temps de la révolution. Des insoumis en pleine incompréhension. Et que s’annonce brièvement la chance d’une réussite. S’offrent à nous, sans que rien n’empêche que l’on nous dénonce, les itinéraires traduits, du flou vers les bonnes pistes. On va sûrement faire une marche, qui par avance semble interminable. Mais tout au long on conçoit, qu’elle nous rapproche de notre but. Finir… Et l’on sait d’instinct, trouver en notre tache, les secrets et les clefs, qui révèleront les marches, vers un chemin splendide, devant la juste oraison, et de nous en sortir…

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Qui ne s’exprime que face à la vie et ne représente que la vie en action. Anonyme… L’objet construit n’est pas éphémère… Qu’en est-il du spontané ? Méandres du superflu… L’idée peut ramèner au concept pictural qui vise à dépeindre la réalité Cubiste. Rechercher des facettes visibles, formelles. La figuration de l’agissant. Dans l’inconscient peintre, l’image informelle, c’est-à-dire une abstraction du conscient, où le geste ramène à l’invention et à la mise au monde, prend corps…

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Qui observe la tache y trouve une goutte de vie. Au détour d’une masse (informelle) le chaos doit s’organiser dans la lucidité. Qui vient après, ensuite, tel l’esprit.

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Chute directe c’est la maladie.

Pose le brut figuratif,

Calcule, dans le présent ce qui s’énumère.

Pense vite

Esprit non passif ne s’organise que dans la passivité, plonge ronge.

La racine est l’outil magique.

Du suicide névrotique telle notre destinée

Fin.

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Quoi qu’il sache, je ne sais rien. De ce qu’il sait, je ne sais rien avant qu’il me l’ait fait savoir.

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Reste que le passé ne s’efface pas, Si bien que les mots de notre liberté transparaissent au firmament, ou des maux qui disparaissent à jamais. Le mal c’est certaines tendances de la mémoire… Quand notre amour se fond dans la couleur d’un désespoir, c’est un néant entier qui naît mais disparaît aussitôt dans le temps. Au moment où grâce au calme la sérénité apaise ce mal noir, radicale psychose au besoin d’humanité… Gare !

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La femme c’est la pénétration. L’homme c’est l’intérieur refoulé.

Rêve

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Rien c’est quoi?

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Scène :

Le sujet est une sorte de victime mise à nue par le spectateur. Rien n’empêche la lecture. Le déroulement est net et sans accent. La seule forme vivante : L’œil qui fixe. La vraie phase : Les mains qui montrent ou agissent. La moralité fixe : Elle. Ou le néant dans la vraie matière brute, mais ordonnée en un néant puissant.

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Sentir que l’infini répand la mémoire brute comme le produit simple de l’abstraction par le réel. Reprendre ensuite le sujet vivant (métaphysique) et constituer la limite verbale du toucher dans l’expression. Rassemblement! Les puissances donc, peuvent se rencontrer et être retenues. Ce qui dépend d’une seule action de la notion sagesse. Qui pour l’heure sera dans la mémoire, donc moins improvisée. C’est l’heure de créer.

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Peurs

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Serpent

Qui peut dire de son histoire le fin mot ? Pas d’abréviation mais ça me touche. Et tente d’écrire son mal d’être pour lui, Le premier seul discours sur lequel il ne peut parier, Puisque d’ambition il s’agit d’un monde pas moral, Savoir indigne.

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La peinture n’a d’importance que pour soi. Soit tous!

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On a commencé par apprivoiser le feu, après la survie…

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Importer du temps important

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Un cran qui engage un engrenage, qui engage un cran, qui engage un engrenage… D’une chose qui tourne sur elle-même.

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Envisager le cosmos comme le domaine du corps cellulaire et orienter les objets comme des passages différents mais complémentaires, intelligents comme utiles, c’est reconnaitre le vide nécessaire…

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Rien à voir. C’est comme si un dessin sans les yeux dessinait ses propres yeux pour me voir.

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Vous avez le choix entre mentir et voir ce qui se passe…

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à part

Y pose la perspective

destruction de l’inconscient collectif.

Le chef de l’oeuvre…

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Y’avait peut-être un équivalent au jeu de l’oie à l’ère du primitif…

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Si l’oeil n’est pas facile à représenter, il y a une vie entre son rôle interne récepteur, sa fonction expressive et la kinesthésie de son apparence extérieur. Il est le passage intelligent entre toutes les formes de vie. Leurs pouvoirs sont un mystère toujours à ré-explorer. Peut être devient-il la porte vers ce monde infini. Peut-être ce sens grave sur nous est ce que l’impalpable ne nous permet pas encore de voir. Si les yeux ouverts étaient un miroir microcosmique en chacun de nous? En chacun de nos deux yeux…